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[anthologie] Les Compagnons de l'Ombre

Livres, films, musiques et tous les médias pouvant servir de sources d'inspiration

Re: [anthologie] Les Compagnons de l'Ombre

Messagede C. A. Rotwang » Jeu 14 Avr 2011 15:59

D'accord, merci ! Comme ça, ça me permettra de commencer directement par la 8ème anthologie. :mrgreen:
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Re: [anthologie] Les Compagnons de l'Ombre

Messagede Rom1 » Jeu 14 Avr 2011 20:18

Ah oui, c'est absolument pas un pb ça.
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Re: [anthologie] Les Compagnons de l'Ombre

Messagede Rom1 » Jeu 19 Mai 2011 12:47

Il sort dans quelques temps !

Image

L'opus coûte 20 € et contient une bonne douzaine d'histoires (au moins) sur 300 pages. Dont deux nouvelles de Julien Heylbroeck et moi.

Disponible dans quelques librairies mais surtout ce tome se commande ici:
http://www.riviereblanche.com/compagnons8.htm
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Re: [anthologie] Les Compagnons de l'Ombre

Messagede Nébal » Ven 15 Juil 2011 08:07

Jean-Marc LOFFICIER (éd.), Les Compagnons de l'Ombre, t.1

Les Compagnons de l’Ombre est une série d’anthologies dirigées par Jean-Marc Lofficier, reprise hexagonale des Tales of the Shadowmen que le même Lofficier dirige outre-Atlantique, dans sa maison Black Coat Press, dont Rivière Blanche est une extension ultérieure. Il s’agit, pour les auteurs, de jouer à « inventer de nouvelles aventures pour leurs héros préférés », dans un projet qui ne manque pas, les crossovers étant au rendez-vous (euphémisme !) de rappeler La Ligue des Gentlemen Extraordinaires du Divin Alan Moore (dans ce présent volume, la nouvelle de Sylvie Miller & Philippe Ward « Les Ferrets invisibles » y fait nécessairement penser), ou, plus récemment, La Brigade chimérique. D’autant que, pour ce qui est de ce premier volume, la plupart des aventures se déroulent à Paris, avec des personnages souvent de création française : l’occasion de découvrir ou redécouvrir tout un patrimoine pré-super-héroïque, à base d’Arsène Lupin, de Fantômas, de Judex, du Nyctalope, et j’en passe. Mais les héros étrangers ne manquent bien entendu pas pour autant à l’appel, Sherlock Holmes en tête. Quoi qu’il en soit, et autant le dire de suite, c’est avec délectation que l’on se plonge dans cet univers étourdissant riche en castings de luxe, qui fleurent bon les pulps et les serials.

Outre la réjouissante préface de Jean-Marc Lofficier (« Mémoires d’un ex-Compagnon de l’Ombre »), on trouvera dans ce premier volume très francophile 22 nouvelles, de taille très variable, allant de la « short-short » (Jean-Marc Lofficier lui-même en signant la plupart, en guise de nouvelles intercalaires, avec une habileté tout à fait remarquable, l’exercice étant périlleux) à la novella. En fin de volume, un « générique » – fort utile – permet de mieux entrevoir les abondantes références utilisées dans chacune d’entre elles.

Il serait sans doute vain de vouloir détailler ici l’ensemble des textes composant cette anthologie on ne peut plus enthousiasmante (a fortiori pour ce qui est des « short-short »). Je me contenterai donc de quelques notes concernant les nouvelles qui m’ont le plus marqué.

La première, « Le Masque du monstre » de Matthew Baugh, est une parfaite introduction au recueil, et en détermine les grandes lignes : la distribution est pour le moins exceptionnelle – le monstre de Frankenstein, Judex, un jeune Maigret pas encore commissaire, les frères Kramm, Jules de Grandin… – et le récit à la hauteur ; cette longue nouvelle se déguste un sourire complice aux lèvres, authentique plaisir sans doute un brin régressif, comme l’ensemble du recueil, mais qu’est-ce que ça fait du bien !

Je relèverai également « Les Anges de la Musique » de Kim Newman (dont il faudra décidément que je lise Anno Dracula et ses suites un de ces jours), nouvelle totalement farfelue mais ô combien réjouissante où le Fantôme de l’Opéra dirige une Agence de « drôles de dames », ayant maille à partir avec des automates hoffmanniens. Irréprochable et très drôle.

John Peel, avec « Le Tortionnaire au grand cœur », fait se rencontrer le Chevalier Dupin et le comte de Monte-Cristo, qui livrent ensemble bataille aux Habits Noirs. Pas mal du tout, notamment dans les passages qui se présentent le plus ouvertement comme des pastiches de Poe.

On notera par la suite un « cycle » de nouvelles mettant en scène Arsène Lupin et Sherlock Holmes. Ici, je dois dire que, n’étant un grand connaisseur ni de l’un ni de l’autre, j’ai parfois (souvent ?) été un peu largué par les allusions. Cela ne m’a cependant pas empêché d’apprécier un certain nombre de ces textes, dont – bien sûr ? – « Bonjour chez vous ! » de Xavier Mauméjean, courte nouvelle dans laquelle Sherlock Holmes est prisonnier du Village… Mais je pourrais aussi noter « Arsène Lupin arrive trop tard » de Jean-Marc Lofficier, nouvelle essentiellement épistolaire, rocambolesque comme il se doit, et très efficace, quand bien même un tantinet prévisible.

Cette prévisibilité, on la retrouve pour « Les Ferrets invisibles » de Sylvie Miller & Philippe Ward ; un peu trop, cette fois, sans doute, même si ça se lit.

Mais j’y ai largement préféré « L’Œil d’Oran » de Win Scott Eckert et « Le Meurtre de Randolph Carter » de Jean-Marc Lofficier, deux nouvelles ayant un fond lovecraftien (alors, forcément…), mais totalement délirantes, la première n’hésitant pas un seul instant à emprunter pour toile de fond La Peste de Camus (!), la seconde, très drôle, offrant le premier rôle à Hercule Poirot, dont la sagacité légendaire se retrouve opposée à quelques fameuses figures empruntées à l’œuvre du « reclus de Providence ».

Au final, si tout n’est pas exceptionnel, le bilan est néanmoins très largement positif : ce premier volume des Compagnons de l’Ombre est une réussite incontestable, réjouissante de bout en bout, à la fois ludique et érudite. Un très bon moment de lecture (et accessoirement une mine pour les MJ du jeu de rôle de La Brigade chimérique…). J’espère que les volumes ultérieurs sont aussi bons ; parce que si c’est le cas, on peut d’ores et déjà me compter comme fan.
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Re: [anthologie] Les Compagnons de l'Ombre

Messagede Rom1 » Ven 15 Juil 2011 13:21

Le tome 8 est le meilleur, en fait. :)
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Re: [anthologie] Les Compagnons de l'Ombre

Messagede Nébal » Lun 19 Sep 2011 06:48

Eh eh... Mais je préfère faire dans l'ordre (traitez-moi de maniaque...). ;)

Jean-Marc LOFFICIER (éd.), Les Compagnons de l'Ombre, t. 2

J’avais beaucoup aimé le premier tome des Compagnons de l’Ombre : de la littérature populaire au sens le plus noble, souvent parfaitement jubilatoire, et qui permettait de découvrir ou redécouvrir toute une palanquée de héros et de vilains tous plus bigarrés les uns que les autres. Il n’y avait pas de raison pour que ça s’arrête, et j’ai donc très logiquement poursuivi avec le tome 2.

Si le principe reste bien évidemment le même, « l’économie » du recueil est cependant très différente : pas de short-shorts ici, mais bien une longue novella sur laquelle s’ouvre ce volume, passée la sympathique préface de Jean-Marc Lofficier, et qui fait à elle seule pas loin de la moitié de ce deuxième tome des Compagnons de l’Ombre. Heureusement pour nous, c’est de la bonne. « Le Loup-garou de Rutherford Grange » de G.L. Gick met en scène, entre autres, un improbable duo d’enquêteurs composé d’Harry Dickson et du Sâr Dubnotal (quel superbe personnage que le Grand Psychagogue !), dans un cadre so british parfaitement délicieux. Alors, certes, ce n’est pas un chef-d’œuvre de style, loin de là, mais on se prend très facilement au jeu, et ça coule tout seul. Une réussite.

Les nouvelles qui suivent sont de taille plus conventionnelle, et on y trouve du bon comme du moins bon. Le recueil se poursuit avec une sorte de petit « cycle » ayant pour tête d’affiche le Docteur Oméga (plus qu’à son tour confondu avec le Docteur, et ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre…). « Le Cœur de la Lune » de Matthew Baugh rassemble du beau monde (entre autres, Solomon Kane de Robert E. Howard et Maciste !), pour une nouvelle vampirique qui ne convainc cependant qu’à moitié. On y préfèrera sans doute « Annus mirabilis » de Chris Roberson, nouvelle mettant en scène un jeune Albert Einstein, des énergies bizarroïdes et les Xipéhuz… Reste enfin une petite farce très prévisible mais assurément mignonne avec « Trois Hommes, un Martien et un couffin » de Travis Hiltz.

Une grosse déception, ensuite, avec la nouvelle de Michael Moorcock intitulée « L’Affaire du Bassin des Hivers » ; celle-ci, qui n’est pas sans faire penser à la nouvelle figurant dans l’Anthologie d’histoires effroyables dirigée par Michael Chabon, se révèle assez laborieuse et guère palpitante, malgré deux, trois gags, et laisse parfaitement froid. Traduction douteuse, accessoirement.

« La Danse de la Nuit et de la Mort » de Travis Hiltz n’a pas grand-chose pour elle : simple rencontre bastonneuse entre Fantômas et Irma Vep, ça ne fait pas une nouvelle, en ce qui me concerne.

« Deux Chasseurs », de Robert L. Robinson, Jr., est plus amusante, même si « un peu » grosse : nous y voyons cependant avec plaisir Judex faire alliance avec Tarzan…

Avec « Les Yeux de son père », Jean-Marc Lofficier nous offre une sorte de remake de Rosemary’s Baby assez correct. Après quoi Randy Lofficier s’amuse avec le Docteur Francis Ardan et la Belle au Bois Dormant, pour un résultat potable.

« L’Assassinat inachevé » de John Peel est assez sympathique : là encore, on a droit un beau duo, avec Rouletabille et Michel Strogoff.

Mais l’autre point fort de ce recueil, après la novella qui l’inaugure, est assurément le « Retour au XXe siècle » de Paul DiFilippo, que l’on sait de toute façon très doué pour ce genre d’exercice. Il s’empare ici du « XXe siècle » de Robida, auquel il mêle James Tiptree, Jr., et les Félines d’un vieux space-op’ hollywoodien. Très drôle et bourré d’idées.

Reste enfin « Au suivant ! » de Bill Cunningham, nouvelle en forme de mauvaise blague graveleuse, plutôt moyenne.

Au final, ce second tome est incontestablement moins bon que le premier. Il a tout de même ses bons moments et, même dans les textes les moins convaincants, n’ennuie pas une seconde. Ce qui est déjà pas mal, ma foi. Pas de doute, je vais poursuivre l’exploration de ces Compagnons de l’Ombre, ils le méritent bien. À un de ces jours pour le tome 3…
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Re: [anthologie] Les Compagnons de l'Ombre

Messagede Nébal » Ven 20 Jan 2012 08:08

Jean-Marc LOFFICIER (éd.), Les Compagnons de l'Ombre, t. 3

Retour auprès de ces si sympathiques Compagnons de l’Ombre, parce qu’ils le méritent bien. Au programme de ce troisième tome, on retrouve le cocktail qui avait si bien fonctionné dans les deux premiers, entre érudition pulpesque et régression jubilatoire : plein de héros et de vilains de la littérature (populaire mais pas que) ou du cinéma (populaire mais pas que), avec quelques personnages historiques de temps à autre, qui vont vivre, sous la plume d’auteurs anglo-saxons (pas toujours bien servis par des traductions parfois approximatives, hélas) ou francophones, des aventures toutes plus délirantes les unes que les autres. On en salive d’avance.

C’est ainsi avec un plaisir certain que l’on retrouve ici Kim Newman, maître ès pastiches furieux, qui, avec « La Marque de Kane », nous offre en quelque sorte une suite aux « Anges de la musique » dont il nous avait régalés dans le tome 1. On retrouve donc Erik, le Fantôme de l’Opéra, toujours aux commandes d’une agence de Drôles de Dames, même si la distribution a changé. Cette fois, la cible de leur courroux justicier n’est autre que le vil magnat de la presse Charles Foster Kane, prêt à toutes les bassesses pour provoquer une guerre en Europe. Mais ce ne sont là que quelques-uns des personnages faisant leur apparition dans ce vaste délire au générique interminable… Comme toujours, c’est parfaitement crétin (au meilleur sens du terme), d’une érudition impressionnante, et tout à fait jouissif.

Win Scott Eckert, avec « Les Lèvres rouges », nous offre lui aussi une suite à sa nouvelle « L’Œil d’Oran », publiée également dans le premier tome de la série. La fille d’Arsène Lupin revient donc pour de nouvelles aventures, accompagnée entre autres de son demi-frère Nestor Burma (si), pour remettre la main sur l’Œil d’argent de Dagon, tombé entre les mains d’une affreuse vampire amatrice de bains de sang. Très sympathique.

Rick Lai, dans « La Dernière Vendetta », fait intervenir tout un cortège de vilains, mais pas que, dans une vente aux enchères d’objets mythiques, où les évocations du western spaghetti, notamment, ne manquent pas. Pas mal.

On passe ensuite à « Ex Calce Liberatus » de Matthew Baugh, nouvelle épistolaire plutôt bien troussée, où Arsène Lupin, entre autres, s’intéresse de près à une collection d’épées historiques. Mais, outre des personnages d’Edogawa Ranpo, les Vampires sont de la partie… Pas mal aussi.

Un gros ratage suit, sans aucun doute la plus mauvaise nouvelle du recueil, avec « Les Deux Panaches de Cyrano » de John Shirley, texte ennuyeux et mal écrit dans lequel Cyrano de Bergerac voyage de quelques années dans le futur, manipulé par un sorcier, pour affronter en duel D’Artagnan… Catastrophique. On passe.

Hélas, « Le Trésor des Romanoff » de Jean-Louis Trudel ne vaut guère mieux. Une lupinade de plus, avec Rouletabille en bonus, mais qui se révèle confuse et guère palpitante. On passe aussi.

Les choses redeviennent plus intéressantes avec « Vingt mille ans sous les mers » de John Peel, qui confronte les univers de Jules Verne et de Lovecraft, le capitaine Némo faisant escale bien malgré lui à R’lyeh. Dommage que ça soit si bourrin au final, mais bon, ça se lit.

Les mêmes auteurs sont à l’affiche de « La Couronne du Chaos » de Jean-Marc & Randy Lofficier : cette fois-ci, c’est Robur qui intervient dans la mystérieuse vallée de K’n-yan auprès d’une expédition de l’Université Miskatonic. Plein de Mi-Go à l’affiche (plus tintinesques que lovecraftiens, cependant), et Yog-Sothoth pour le grand final, tandis que le Sâr Dubnotal veille. Résolument pulp, totalement hystérique, ça fonctionne plutôt bien.

Mais le meilleur est à venir avec la longue nouvelle de Brian M. Stableford qui conclut le recueil, « Le Sauvetage du Titan, ou La Futilité revisitée ». S’inspirant d’une histoire de naufrage antérieure à celui du Titanic (et a fortiori de, euh…), l’auteur place sur son gigantesque paquebot toute une flopée de célébrités, historiques ou imaginaires ; mais il semblerait bien qu’il y ait des vampires à bord ! Astucieusement construite, riche de clins d’œil réjouissants, souvent drôle, c’est là une vraie réussite, qui conclut ce troisième tome un peu inégal sur la meilleure note possible.

Aussi, on ne boudera pas notre plaisir. Malgré quelques ratages, ce troisième tome reste de très bonne tenue, a fortiori si l’on prend en compte le fait que les nouvelles de Kim Newman et de Brian Stableford, à n’en pas douter les meilleures, occupent à elles seules près de la moitié du volume. On se retrouvera donc un de ces jours pour le tome 4, et ad lib.
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Re: [anthologie] Les Compagnons de l'Ombre

Messagede Graou » Sam 11 Fév 2012 16:46

Bonjour,
ça m'a l'air passionnant, mais si je comprends bien, les premiers volumes sont une reprise des volumes anglais, Tales of the sahdowmen? La traduction est-elle bonne ou vaut-il mieux quand même acheter les premiers en anglais? Et quid des nouvelles françaises du volume 8, seront-elles traduites en anglais?
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Re: [anthologie] Les Compagnons de l'Ombre

Messagede Wyatt Scurlock » Lun 6 Aoû 2012 12:40

A noter qu'il y a une anthologie centrée sur le Nyctalope qui est sortie il y a peu et à laquelle j'ai participé, écrivant une aventure du héros français en Vendée, autour du sinistre château de Tiffauges.
Sans vouloir faire de pub grossière, je pense que mon scénario pourrait constituer une aventure de la Brigade.

Dispo chez Rivière Blanche, comme d'hab.

http://www.riviereblanche.com/nyctalopenuit.htm
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Re: [anthologie] Les Compagnons de l'Ombre

Messagede Judex13 » Mar 7 Aoû 2012 14:05

Je l'ai achté, c'est un oouvrage superbe !
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